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Nuée d'oiseaux blancs est écrit entre 1949 et 1952, dans un pays en pleine reconstruction, par un auteur déjà considéré comme l'un des plus grands romanciers japonais de son temps.

Le héros est un trentenaire, fils unique ayant perdu ses parents. Célibataire, jouissant d'une fortune confortable, il ne sait pas bien quelle direction sa vie est en train de prendre. Il appartient à une génération qui a grandi sous les bombardements et ne sait plus que faire du legs esthétique et philosophique du Japon ancien. De la façon la plus inattendue, il se trouvera confronté à un dangereux héritage - spirituel, sentimental et amoureux.


et généralement du comique dans les arts plastiques

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Charles Baudelaire, De l’essence du rire« Le rire est satanique, il est donc profondément humain. Il est dans l’homme la conséquence de l’idée de sa propre supériorité ; (…) signe d’une grandeur infinie et d’une misère infinie. »Dans ce court essai philosophique rédigé de 1855 à 1857, année de publication des Fleurs du mal, Baudelaire énonce l’une des thèses marquantes de son esthétique : le rire est satanique, il est le signe de l’imperfection de l’homme, de son orgueil et de son angoisse.Le travail de Baudelaire inaugure une conception moderne du rire – Lautréamont et André Breton s’en feront l’écho.


Pétrarque, L’Ascension du Mont VentouxTraduction de Yann MigoubertL’Ascension du Mont Ventoux est le texte d’une lettre que Pétrarque envoya en 1336 à son directeur de conscience et ami, Dionigi dei Roberti, et qu’il retravailla sans doute plusieurs fois durant les décennies qui suivirent.D’une sensibilité étonnamment moderne, L’Ascension du Mont Ventoux est en définitive le récit d’un parcours spirituel. L’homme, dominé par la nature, doté de forces précaires et terriblement vulnérable doit trouver en lui-même le courage d’affronter tentations et difficultés, sans jamais se détourner de son but véritable.


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Les partis sont un merveilleux mécanisme par la vertu duquel, dans toute l’étendue d’un pays, pas un esprit ne donne son attention à l’effort de discerner, dans les affaires publiques, le bien, la justice, la vérité.

Si on confiait au diable l’organisation de la vie publique, il ne pourrait rien imaginer de plus ingénieux.

Simone Weil

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