- EAN13
- 9782746527157
- Éditeur
- Editions Le Pommier
- Date de publication
- 06/09/2023
- Collection
- Hors collection
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Poète originaire de Boston, établi en Provence près de son ami René Char,
Gustaf Sobin se décrivait lui-même comme un « flâneur archéologique ».
Marcheur infatigable, passant au peigne fin les vergers, vignes et champs de
blé de son pays d’adoption, il y a glané des vestiges, « frais comme les rêves
», qui ont jailli du sol. Avec la voix juste du poète et le savoir d’un
archéologue, il a cherché à les faire parler. Dans cet ensemble de vingt-six
courts essais, Sobin mène une réflexion aussi bien anthropologique que
poétique : quel lien unissait nos ancêtres à la terre qu’ils habitaient ?
Quels mondes gisent sous le nôtre, et qu’en révèlent-ils ? De l’âge de pierre
à l’Antiquité, d’une minuscule lame de hache, « svelte comme une truite » et
vieille de quatre mille ans, à un imposant aqueduc de l’époque de Claude, il
décrypte les débris collectés comme autant de signes qui parlent aussi de
notre présent. « Car le passé, correctement interprété […], nous donne – de
temps en temps – de foudroyantes visions de notre réalité. » Traduit de
l’anglais (américain) par Elizabeth Deshays et Michel Roure.
Gustaf Sobin se décrivait lui-même comme un « flâneur archéologique ».
Marcheur infatigable, passant au peigne fin les vergers, vignes et champs de
blé de son pays d’adoption, il y a glané des vestiges, « frais comme les rêves
», qui ont jailli du sol. Avec la voix juste du poète et le savoir d’un
archéologue, il a cherché à les faire parler. Dans cet ensemble de vingt-six
courts essais, Sobin mène une réflexion aussi bien anthropologique que
poétique : quel lien unissait nos ancêtres à la terre qu’ils habitaient ?
Quels mondes gisent sous le nôtre, et qu’en révèlent-ils ? De l’âge de pierre
à l’Antiquité, d’une minuscule lame de hache, « svelte comme une truite » et
vieille de quatre mille ans, à un imposant aqueduc de l’époque de Claude, il
décrypte les débris collectés comme autant de signes qui parlent aussi de
notre présent. « Car le passé, correctement interprété […], nous donne – de
temps en temps – de foudroyantes visions de notre réalité. » Traduit de
l’anglais (américain) par Elizabeth Deshays et Michel Roure.
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