- EAN13
- 9782711616374
- ISBN
- 978-2-7116-1637-4
- Éditeur
- Vrin
- Date de publication
- 12/2003
- Collection
- Bibliothèque des philosophies
- Nombre de pages
- 256
- Dimensions
- 21,5 x 13,5 x 1,8 cm
- Poids
- 440 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 184
- Fiches UNIMARC
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Cette monographie, qui s’adresse à un très large public, peut être abordée comme une introduction à la philosophie de Platon, mais son exhaustivité et sa précision en font avant tout un ouvrage de référence.
Spécialiste de Platon et de la philosophie antique, Monique Dixsaut se propose de dégager certains fils conducteurs pour la lecture de Platon : l’auteur commence par mettre en évidence l’importance du langage dans son rapport à la pensée et à la langue commune; puis cherche à élucider la différence entre les essences et les choses en devenir, différence ontologique qui rappelle les différences épistémologiques; sont enfin abordées les réalités qui ne peuvent donner lieu à un examen dialectique : l’âme, la cité et le monde.
Certes, Platon a toujours été le Platon de quelqu’un, d’une époque, d’une école philosophique, d’une méthode d’analyse, et Monique Dixsaut nous en livre ici une interprétation originale. Mais son étude, fidèle à l’esprit de Platon, rappelle que toute conclusion positive se sait être l’effet d’une pensée qui trouvera toujours en elle assez d’élan pour reprendre le problème autrement.
Spécialiste de Platon et de la philosophie antique, Monique Dixsaut se propose de dégager certains fils conducteurs pour la lecture de Platon : l’auteur commence par mettre en évidence l’importance du langage dans son rapport à la pensée et à la langue commune; puis cherche à élucider la différence entre les essences et les choses en devenir, différence ontologique qui rappelle les différences épistémologiques; sont enfin abordées les réalités qui ne peuvent donner lieu à un examen dialectique : l’âme, la cité et le monde.
Certes, Platon a toujours été le Platon de quelqu’un, d’une époque, d’une école philosophique, d’une méthode d’analyse, et Monique Dixsaut nous en livre ici une interprétation originale. Mais son étude, fidèle à l’esprit de Platon, rappelle que toute conclusion positive se sait être l’effet d’une pensée qui trouvera toujours en elle assez d’élan pour reprendre le problème autrement.
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