La librairie du centre-ville

Quatrième de couverture: « Je ne sais vraiment pas comment je me suis retrouvée à travailler dans la librairie. Je veux dire que je sais comment ça s’est passé mais que je ne comprends pas pourquoi c’est tombé sur moi. Il y a juste qu’un soir, Karine vient dans ma chambre en me disant que je dois me rendre à la Librairie du Centre-ville parce que la Fédération lui a dit qu’ils cherchent quelqu’un pour un Contrat Espoir. J’ai beau lui expliquer que j’ai fait une formation de sénatrice en esthétique capillaire et coiffure, elle me prend la main et glisse un morceau de papier à l’intérieur. — Vas-y. C’est la Fédération qui me l’a dit. Tu serais folle de pas y aller… » Le monde a changé depuis la Grande Crise. Mélanie découvre malgré elle qu’il est pire qu’elle ne le pensait et que le travail qui lui est confié n’est pas celui qu’elle croyait. Heureusement il y a Lucrèce, sa patronne, une Élite. Mélanie éprouve pour elle une amitié dangereuse. Roman d’anticipation sociale, intrigue politique sur fond de corruption, récit intimiste et drôle d’une jeune fille confrontée à un univers dont elle devra apprendre à utiliser les codes pour survivre, « La Librairie du Centre-ville » est inclassable !