- EAN13
- 9782021307665
- ISBN
- 978-2-02-130766-5
- Éditeur
- Seuil
- Date de publication
- 03/03/2016
- Collection
- LA LIBRAIRIE DU XXE SIECLE
- Nombre de pages
- 256
- Dimensions
- 18 x 11,1 x 1,8 cm
- Poids
- 195 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Je me souviens de l'imperméable rouge que je portais l'été de mes vingt ans
De Lydia Flem
Seuil
La Librairie Du Xxe Siecle
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"Les habits collent à la peau. Ils nous protègent et nous exposent. Le vêtement happe le regard social et trahit notre part d’ombre. Les hommes et les femmes ne sont pas égaux dans cette course aux apparences.
Dans ce livre, Lydia Flem raconte les vêtements de ses souvenirs. Elle mêle avec malice le grave au frivole. Sur un mode ludique, elle poursuit sa quête de l’intime en adoptant une forme devenue classique depuis les Je me souviens de Georges Perec dans les années 1970. Cette forme, Perec l’a métamorphosée après l’avoir empruntée à l’artiste américain Joe Brainard, ami de son ami Harry Mathews.
De la petite fille à l’amante, de la séductrice à la militante des droits de la femme et des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans), Lydia Flem s’amuse à psychanalyser nos gestes et nos codes vestimentaires. Cette promenade personnelle croise la garde-robe de nos souvenirs collectifs, photographies de mode, stéréotypes du savoir-vivre, scènes de cinéma, mots de la littérature, images de l’histoire et de l’actualité.
Comme dans ses livres précédents, Lydia Flem explore ce qui appartient à chacun et à tous, le plus singulier et le plus universel. Lydia Flem est l'auteur d'une douzaine de livres traduits en une vingtaine de langues. Membre de l'Académie royale de Belgique, elle est également psychanalyste et photographe. Elle a notamment publié, dans "La Librairie du XXIe siècle", Comment j’ai vidé la maison de mes parents, Lettres d’amour en héritage, Comment je me suis séparée de ma fille et de mon quasi-fils et La Reine Alice."
Dans ce livre, Lydia Flem raconte les vêtements de ses souvenirs. Elle mêle avec malice le grave au frivole. Sur un mode ludique, elle poursuit sa quête de l’intime en adoptant une forme devenue classique depuis les Je me souviens de Georges Perec dans les années 1970. Cette forme, Perec l’a métamorphosée après l’avoir empruntée à l’artiste américain Joe Brainard, ami de son ami Harry Mathews.
De la petite fille à l’amante, de la séductrice à la militante des droits de la femme et des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans), Lydia Flem s’amuse à psychanalyser nos gestes et nos codes vestimentaires. Cette promenade personnelle croise la garde-robe de nos souvenirs collectifs, photographies de mode, stéréotypes du savoir-vivre, scènes de cinéma, mots de la littérature, images de l’histoire et de l’actualité.
Comme dans ses livres précédents, Lydia Flem explore ce qui appartient à chacun et à tous, le plus singulier et le plus universel. Lydia Flem est l'auteur d'une douzaine de livres traduits en une vingtaine de langues. Membre de l'Académie royale de Belgique, elle est également psychanalyste et photographe. Elle a notamment publié, dans "La Librairie du XXIe siècle", Comment j’ai vidé la maison de mes parents, Lettres d’amour en héritage, Comment je me suis séparée de ma fille et de mon quasi-fils et La Reine Alice."
Commentaires des lecteurs
Dans ce livre inclassable car ce n’est pas d’un recueil de nouvelles ni un roman, Lydia Flem nous raconte et surtout se raconte depuis son enfance. En se souvenant d’un événement familial ou historique, d’un vêtement, d’une personne, d’une expression, ...
Lire la suiteGourmandise
Un régal d'humour et de sentiments. Se garde au fond de son sac pour être lu par petites touches, avec gourmandise.On retrouve ici l'esprit de Geoges Perec, mais cette fois dans un environnement féminin, quelquefois espiègle, genre petit lutin rieur, ...
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